Brief

Un des exercices en "Photo et image en communication" était celui-ci. Il fallait à travers une vidéo, dépeindre la nostalgie ou, en tout cas, l'effet des souvenirs que nous procurait la ville de notre choix.

Storytelling

La vidéo illustre le point de vue d’un jeune homme, dont la ville lui rappelle sans cesse, malgré lui, les souvenirs de son grand amour. Chaque mur, bâtiment, monument, lui rappelle un souvenir et provoque en lui une nostalgie incessante.

Pour le storyboard je n’avais en tête que les premiers plans de ma vidéo : je voulais que le personnage principal regarde par le balcon, je trouve que c’est une première scène qui évoque déjà pas mal de nostalgie. J’ai ensuite filmé des plans spontanément dans la ville, la plupart en lien avec mon histoire personnelle ou des souvenirs que j’avais dans Paris.

 

Montage

Je voulais que la vidéo soit très calme au début, que le temps soit comme en suspension avant que les souvenirs arrivent. Le bruit de ville appuie donc sur le silence de la scène et contraste bien avec le mouvement du métro et la musique qui démarrent juste après.

Une fois que les souvenirs sont lancés, j’ai rajouté des enregistrements personnels de certains moments de vie et souvenirs que j’avais dans Paris. Avec PremierePro, j’y ai ajouté un eIet de réverbération pour rendre les voix plus lointaines car ces moments sont censés n’appartenir qu’au passé. J’ai volontairement laissé les bruits de chaque rush car j’ai trouvé qu’ils rendaient la vidéo vivante et renforçaient l’immersion dans chaque moment filmé.

En ce qui concerne la musique, elle s’intitule « How to never stop being sad », j’ai trouvé les paroles en accord avec le storytelling de ma vidéo car elles parlent d’une rupture, on peut donc imaginer que le jeune homme dans la vidéo essaye de se remettre d’une rupture mais que chaque endroit de sa ville lui rappelle de bons souvenirs, il ne peut donc pas échapper à la nostalgie.

Les dernières paroles de la musique étaient assez fortes, c’est pour cela que j’ai volontairement laissé la musique sans vidéo : pour appuyer sur ce qui était dit et finir la vidéo de manière impactante.